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Résister à l'endoctrinement religieux

et refuser la subordination des consciences

Un des buts de ce site est d'aider les personnes qui désirent se libérer de l'emprise de la religion et se blinder contre l'embrigadement.

Notre vie est trop précieuse pour que nous en déléguions la conduite à une autorité religieuse. Pour gagner notre autonomie intellectuelle, philosophique et morale, il faut faire le ménage dans la propagande religieuse.

L'exemple du catholicisme développé ici pourrait être adapté, dans une large mesure, à n'importe quelle autre religion.

Résister au contrôle social exercé par l'Église

L'Église en quête de pouvoir à travers l'État et la famille

Société

Par analogie avec la biologie et l'écologie, c'est la diversité culturelle, religions incluses, qui offre les meilleures opportunités d'adaptation et d'évolution des civilisations. Le développement a besoin de liberté et profite de la pluralité des croyances. Ce n'est pas la diversité religieuse qui est source de tensions, mais l'intolérance. Actuellement, l'Occident est mieux caractérisé par la démocratie que par le christianisme.

Il est dangereux de laisser libre cours à une idéologie religieuse déterminée sans lui opposer les contre-pouvoirs de la pluralité et de la liberté. Il faut fuir les organisations qui oeuvrent à établir une société idéologiquement homogène. Pour s'en prémunir, il faut informer les jeunes du poids de la religion sur les générations précédentes.

Le cléricalisme suisse romand

À tout propos, on entend que la religion est une affaire personnelle qui se traite en conscience. Fort bien, mais cela ne correspond pas vraiment à la situation actuelle, et pas du tout à ce que j’ai vécu.

Durant des décennies, j’ai subi des interventions massives de l’État en matière religieuse dans des cantons catholiques romands. Pendant mes cinq ans d'école primaire, il fallait réciter le catéchisme tous les jours et aller à la messe en colonne par deux. Pendant les trois ans d'école secondaire, les cours de religion étaient obligatoires. Puis, parce que j'ai voulu devenir instituteur, j'ai été obligé de passer encore cinq ans dans un internat géré par une congrégation religieuse. Il était exigé que je sois catholique engagé et catéchiste scolaire.

Mon sentiment est plutôt que la religion était, et est encore dans une mesure certes réduite mais encore présente, une affaire d’État contre laquelle je me sens en conscience obligé de résister.

L'État doit accueillir tous les citoyens de la même manière, qu'ils soient chrétiens, musulmans, bouddhistes, sans religion ou autres. En conséquence, il ne peut pas prendre parti pour certaines communautés particulières, par exemple en se proclamant chrétien ou déclarant que certaines religions ont droit à un statut privilégié. Il doit manifester, y compris dans l'enseignement public, sa neutralité face aux croyances.

Pas de religion dans le fonctionnement de l'État !

Religions

En Europe occidentale, nous observons que les religions séculaires s'effritent tandis que d'autres s'infiltrent. Assurément, nous sommes loin d'en avoir fini avec les zélateurs de la Vraie Foi Révélée qui présente la bizarrerie d'être plurielle. Il s'en dégage l'image d'un Dieu qui se cache, délivre des messages contradictoires et présente un trouble dissociatif de l'identité. La diversité des croyances révèle qu'elles sont des constructions culturelles dépourvues de fondements objectifs. Il n'est pas raisonnable d'obéir aux propagandistes d'un Dieu si mal défini.

Pourquoi l'homme s'accroche-t-il à des croyances dites sur l'au-delà, mais qui sont en fait au-delà de toute vraisemblance ? La réponse est - ô révélation - à situer entre nos deux oreilles, c'est-à-dire dans notre cerveau. La religion est un effet secondaire de l'illusion de se croire immortel. Se contenter d'arguments d'autorité est une capitulation de l'esprit.

Les religions oeuvrent à dramatiser l'existence : l'oeil de Dieu qui nous observe, le péché, le Jugement dernier, l'enfer (ou la réincarnation en un être inférieur), la vie éternelle, ...

La religion ne permet pas d'accéder à la paix intérieure, car elle développe une rhétorique d'intimidation qui met le fidèle sous pression et exige de lui toujours plus, sans fin. Celui qui ne met pas en place une défense se fait phagocyter.

Méfions-nous d'une religion qui sanctifie la soumission et l'obéissance: croire nous rendra captifs !

Résister un peu pour éviter la dérive extrémiste ne suffit pas; il est nécessaire de résister fermement pour éviter l'engrenage de la sujétion.

Enseignement religieux

La méthode de l'enseignement religieux consiste à dramatiser l'existence : l'oeil de Dieu qui nous observe, le péché, le Jugement dernier, l'enfer, la vie éternelle, etc. Le but est d'enfermer l'esprit dans un système de pensée qui accorde à l'Église du pouvoir sur votre conscience.

Ne serait-il pas préférable de dédramatiser l'existence ? Il vaut mieux développer la créativité et l'esprit critique plutôt que la fidélité à une religion ou une tradition. Ce principe s'applique aussi à l'enseignement de la philosophie.

La justice

Pour avoir le courage de s'opposer à l'injustice au nom de la dignité et de la solidarité, il n'est pas nécessaire de croire à des divinités. Se sentir membre de la communauté humaine peut suffire.

Le sacré

Le sacré est un sentiment, à mi-chemin entre l'autocensure et le tabou, dont une composante est une peur paralysante. Les institutions religieuses le cultivent afin de d'endormir l'esprit critique, renforcer la docilité, promouvoir la soumission et éviter toute remise en question.
Seuls les droits humains sont «sacrés», et l'Église ne les a jamais respectés, ni dans le passé, ni aujourd'hui, par exemple en matière d'égalité des sexes, de remariage, d'homosexualité et de pédophilie.

La morale

Une institution qui, tout au long de son histoire, a bafoué les droits de l'Homme ne peut pas être «la» référence morale. Les progrès ne sont pas venus d'un mouvement propre de l'Église, mais lui ont été arrachés par les exigences de la modernité.

La croyance, le croyant

Le croyant prétend vivre selon la volonté de Dieu, alors qu'il endosse un prêt-à-penser établi par des idéologues bien humains. On dit que la foi soulève des montagnes, mais il faut préciser que ce sont des montagnes de droits humains délibérément évacués.

La croyance ne poserait aucun problème si elle s'en tenait à la définition du dictionnaire. Malheureusement, le croyant se croit tenu en conscience d'être missionnaire. Il engage l'État à soutenir certaines communautés religieuses, ce qui génère des inégalités de traitement et expose les non croyants à une publicité religieuse partiale et indésirée.

Impôt ecclésiastique

L'impôt ecclésiastique est un reliquat du cléricalisme. L'État n'a pas à se mêler de la vie religieuse des citoyens en organisant les quêtes de l'Église.

Dans les cantons de Fribourg, du Jura et de Berne, on peut, en quittant l'Église, être exempté de l'impôt ecclésiastique. Dans les cantons du Valais et de Vaud, on peut, après être sorti de l'Église, demander le remboursement de la part paroissiale de l'impôt.

L'écologie

La conscience écologique pourra progresser dès que l'homme aura vraiment compris et admis que la nature n'est pas limitée à notre environnement, mais que nous en sommes une partie intégrante. L'humanité est une partie consciente de l'univers.

Le pouvoir et l'autorité

À propos du Centre suisse Islam et société, Fribourg

Témoignages

L'État ayant fortement réduit le contrôle social qu'il exerçait, en particulier dans l'enseignement, afin que les individus soient soumis à la religion, c'est aujourd'hui la famille et les proches qui se retrouvent en première ligne, usent de leur influence et, parfois, font pression d'une manière éhontée.

L'endoctrinement s'effectue aussi par l'instruction religieuse dispensée dans les établissements confessionnels.

Résister à la foi religieuse

Pour le bonheur de ceux qui croient aux purs esprits, tout ce qui est invérifiable est compatible avec la raison.

Prologue

Beaucoup se jugent que peu endoctrinés car, la pression sociale ayant faibli, ils ne se sentent pas contraints. Ils perçoivent cependant la vie à travers des mythes tels que le paradis et l'enfer, le péché originel, l'existence d'un Sauveur, le Jugement dernier, etc. C'est précisément cela que j'appelle «être endoctriné». Avant de nous plaindre que les autres sont trop endoctrinés, il serait bon de jeter un regard introspectif sur l'endoctrinement dont nous a imbibé notre culture.

Plutôt que d'adhérer, au hasard de la naissance, à un volumineux catalogue de croyances traditionnelles, la raison, selon le principe de parcimonie, nous demande de n'adopter qu'un ensemble minimal de règles nécessaires.

Dieu

« Croyez-vous en Dieu ? » n’est pas l’interrogation la plus fondamentale. D’abord, elle n'est pas première, car, si notre mort est définitive, son intérêt est limité. Ensuite, en admettant une forme survie de l'âme, un Dieu qui ne nous jugerait pas et ne distribuerait ni récompense, ni punition, ne serait pas préoccupant.

La foi se construit sur la croyance qu’un « Juge suprême » soupèse nos actions, nous récompense ou nous punit. Sur terre, un père qui dirait « Si tu es sage, je te prendrais dans mes bras et t’aimerais toujours ; par contre, si tu désobéis, je te rejette et tu iras habiter chez le méchant ogre qui fait souffrir » serait qualifié d’indigne. En transformant un conte de ce genre en décret divin, les religions s’adonnent au chantage moral. Celui qui se croit immortel vit entre l’inquiétude du Jugement et l’espoir d’une rétribution pour les justes. « L'amour de Dieu » est une formule qui exprime l'espoir de la clémence du Jugement, mais l’Enfer reste une issue possible et angoissante. La religion dramatise puissamment la vie et la mort, mais je ne crois pas au Dieu de la carotte et du bâton.

L’interrogation fondamentale est donc « Suis-je immortel ? ». À l’aune des connaissances établies, la réponse est clairement non, car la mort de tout être vivant est totale et définitive. Dès lors, avec ou sans foi en Dieu, s’évanouit la menace du Jugement.

Dieu est bon comme Pégase est ailé À quelle image de Dieu accorder sa confiance ? Le mal est-il un sous-produit de la liberté ?

Dieu nous aurait envoyé un Sauveur il a 2'000 ans. Or, l'être humain, plus précisément Homo sapiens, existe depuis environ 300'000 ans. N'est-il pas étrange que Dieu ait laissé l'humanité macérer dans l’ignorance et l’erreur pendant 298'000 ans ? Attendre si longtemps avant de lancer une opération de secours ne correspond pas à l'idée que nous nous faisons d'un Sauveur. Le manque d’empressement à nous venir en aide cadre mal avec l’enseignement de l’Église sur l’amour de Dieu et rend le récit de la Rédemption douteux et peu crédible.

L'épisode chrétien représentant moins de 0.7 % de l'histoire de l'humanité, il est loin d'être représentatif de la spiritualité.

En transformant les mythes en vérités, les doctrines religieuses sont imbuvables. Croire n’est ni une évidence, ni un devoir, ni une nécessité. Je peux légitiment, en conscience, refuser la religion qu’on m’a infusée.

Le paradis

Au paradis d'Allah, chaque croyant fidèle disposera de 72 vierges à déflorer. Comme il n'y a aucune raison pour que le Dieu des chrétiens soit moins généreux que celui des musulmans, la jalousie n'est pas de mise. Il n'y a pas de quoi s'enflammer car, en les répartissant dans le temps, cela fait infiniment moins qu'une vierge par milliard de siècles. Quelles frustrations en perspective !

Tout en se référant à une espérance déconnectée de toute réalité, les croyants affirment que leur foi leur est nécessaire. Cette posture est riche en enseignements, non sur Dieu, mais sur les ressorts de la psychologie humaine : c'est l'attente qui suscite la foi, renommée Espérance. Dans la religion qui nous vend rêves et mirages, il y a quelque chose qui évoque irrésistiblement Don Quichotte.

La menace infernale

Certains avatars de l’adage «Qui aime bien châtie bien» sont flamboyants.

Les Églises dressent l’apologie de l’amour de Dieu sans insister autant qu'autrefois sur l'intimidation qui l'accompagne :

[Matthieu 13 41-42] «Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui ramasseront de son Royaume tous les scandales et tous les fauteurs d'iniquité, et les jetteront dans la fournaise ardente: là seront les pleurs et les grincements de dents.»

Les croyants retiennent leur souffle, mais trouvent juste que Dieu recoure à des tourments éternels. On se serait attendu à une justice plus soucieuse de proportionnalité, car, sur terre, même infligée par les pires sadiques, toute peine a une fin. De plus, la justice qui respecte les Droits humains ne recourt pas à la torture punitive.

Quel saisissant contraste avec le message de pardon :

[Matthieu 5 44] «Eh bien ! moi je vous dis : Aimez vos ennemis, priez pour vos persécuteurs» !

Malheureusement, toute démarche qui relève du principe «Fais ce que je dis, mais pas ce que je fais» peine à convaincre.

Voilà une contradiction interne dont l’énormité discrédite gravement la Bible et montre clairement l’impossibilité logique que la doctrine chrétienne du Jugement dernier soit Vérité.

Plus de circonspection devrait se manifester face aux idées reçues. On sait qu’il circule beaucoup d’histoires imaginaires et absurdes. L’Enfer en est une, et imbuvable de surcroît. L’appétence pour la foi doit être bridée par la nécessité de la cohérence.

Le christianisme

Dans la pensée religieuse, les rites ont des effets magiques. Mais, pour échapper à la critique, il est prudent de situer les manifestations surnaturelles dans un au-delà qui est aussi au-delà des vérifications possibles. Ainsi en va-t-il des sacrements, en particulier de l'eucharistie.

Moi aussi j'ai des pouvoirs surnaturels. Un archange m'est apparu en songe et m'a attribué le titre d'«Ordonnateur de l'Agenda des Élus». Je peux organiser une rencontre privée et intime avec la personne que vous désirez dès que vous et la personne choisie serez tous deux dans l'au-delà. Ce service vous est gracieusement offert, mais je vous donnerai mon adresse bancaire pour le cas où votre reconnaissance tiendrait à s'exprimer.

De toute évidence, que Jésus Christ soit une personne divine est un mythe, certes fonctionnel puisqu'il conduit à la soumission et à l'obéissance. Y voir Dieu en personne est une révélation: celle de l'endoctrinement subi. Mesuré à l'aune de la raison, l'enseignement chrétien est aussi extravagant que celui d'un brahmane qui énumère les épithètes de Shiva.

La vérité

La religion étant une affaire culturelle, la référence à la vérité n'est qu'une rhétorique de propagande.

Il est nécessaire d'échapper au totalitarisme de ceux à qui «la vérité» a été révélée.

Réfutation du «Pari de Pascal»

Foi, sciences et épistémologie

Rien n'est pire que la foi qui donne l'illusion de la connaissance ultime, par exemple la prétention du catholicisme d'être dépositaire de la Vérité. Prendre conscience de notre ignorance conduit à une attitude plus modeste qui est aussi plus conforme à notre condition humaine.

L'agnosticisme

L'agnostique pense que rien ne prouve l'existence ou la non existence d'un créateur (ou de plusieurs) et rejette généralement les religions constituées. Cependant, comme il admet que Dieu puisse éventuellement exister, il doit envisager la possibilité, non établie mais pas exclue, d'être soumis au jugement divin. C'est pourquoi sa position face à la religion qu'il a quittée - ou à celle de son milieu social - demeure souvent ambiguë et inconfortable.

Dédramatiser la mort pour alléger la vie

« S’il n’y a rien après la mort, alors ça ne sert à rien de vivre ». Cette affirmation laisse entendre que la vie est une sorte de travail qui mérite salaire. Étant convaincu que, faute d’immortalité, je ne pourrais pas emporter les fruits de mes actions dans l’au-delà, la morale de rétribution est inopérante.

Les religions oeuvrent à dramatiser l'existence. En plus de la mort proprement dite, le croyant doit affronter des épreuves supplémentaires comme le Jugement dernier, puis est orienté vers le Paradis, après un éventuel stage au Purgatoire, ou vers l’Enfer. La sentence vaut pour l’éternité, et c’est fort angoissant. Dans d’autres religions, l’Enfer est remplacé par la réincarnation dans un être inférieur, mais la problématique reste la même.

Mon coeur profane ne tend pas vers une telle « espérance ». Lorsque les préoccupations religieuses conduisent à des sentiments négatifs tels que la peur, c'est une mesure d'hygiène mentale que de s'en distancier.

Pour l’athée, la mort est un événement naturel, dépourvu des enjeux liés à l’immortalité, donc dédramatisée. Elle apporte la fin définitive des soucis et des tourments. J'apprécie beaucoup que la vie ne soit ni un concours, ni un examen, ni une épreuve de sélection. L’athéisme apporte une tranquillité d’esprit, non seulement face à la mort, mais aussi dans la vie quotidienne.

Un obstacle majeur cependant : cette voie de sérénité est abrupte pour ceux qui se croient immortels. Seuls y accèdent ceux qui ont la force mentale de se dégager du piège de la foi religieuse.

Se libérer de l'emprise de la religion

Lorsqu'un croyant s'éloigne de la religion, il peut ressentir des sentiments négatifs comme la culpabilité ou la honte.

Épilogue

On ne peut pas établir la vérité, mais on peut écarter l'erreur, ce qui permet de cerner le domaine de recherche. Afin de répondre à mon besoin de cohérence, j'ai poursuivi le but de chasser les contradictions, ce qui m'a conduit à rejeter les fictions religieuses qui carburent aux écrits tombés du ciel. Il faut retourner à l'école du bon sens et reposer les deux pieds sur la terre. L'exercice de la libre pensée, en particulier l'opposition à tout dogme, exige que l'on accepte une grande diversité dans les manières d'envisager l'existence. Plus fondamentalement, j'aspire à l'indifférence religieuse. Malheureusement, à cause du poids de la religion dans mon environnement, cet idéal se situe hors d'atteinte. Je soutiens solidairement toutes les attitudes qui encouragent la résistance à l'endoctrinement religieux.

Au lieu de geindre en prétendant que nous vivons dans une société sans valeurs et de mettre nos espoirs dans un autre monde, donnons du sens à l'univers dans lequel nous vivons. Réservons notre engagement à ce qui est universel, à l'écart des chapelles. Nous voulons nous caractériser par des valeurs plus ouvertes et d'une portée plus générale que le culte de la crédulité dans un cadre communautariste. Retournons aux fondements de notre culture occidentale: l'humanisme hérité du siècle des Lumières, avec les droits de l'Homme, la démocratie, la laïcité, la recherche du bien commun et la primauté de la raison sur la foi. L'infini existe dans ce qu'il nous est possible de construire, de créer ou d'aimer.

Fondons l'enseignement, non sur l'autorité fût-elle d'Église, mais sur le développement de la raison, du sens critique, de l'indépendance d'esprit et de l'autonomie intellectuelle, dans un cadre laïque.

À propos de «Résister à l'endoctrinement religieux» :

Documents

Société, presse et web, lectures

À propos du désendoctrinement

Il faut nettement distinguer :

  • D'une part se désendoctriner soi-même, ou une tierce personne qui désire se désendoctriner. C'est ce à quoi mon site s'attache en expliquant mon cheminement personnel de type déconstruction / reconstruction.
  • D'autre part, désendoctriner quelqu'un, sans que cette personne souhaite affaiblir son arrimage à sa religion. Ce thème n'est pas traité ici. Renseignez-vous, par exemple, sur la méthode street epistemology - afin de conduire la conversation avec une chance de succès.

Comment se désendoctriner ?

Lire attentivement et méditer le livre numérique suivant :

Tout le site «Résister à l'endoctrinement religieux» en un seul document

en se disant «Il ne s'agit que d'un chemin parmi beaucoup d'autres, mais, en adaptant ces réflexions à ma situation, je peux trouver une alternative à la soumission et me libérer du sentiment de culpabilité».

Recherche Google dans le site www.deleze.name

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